Interview du GCA Alain PIDOUX, Chef de l’IGGN, Inspection générale de la Gendarmerie nationale

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Le 16 mars 2022 – Un honneur de franchir la porte de l’Inspection générale de la Gendarmerie nationale (IGGN) en vue de rencontrer son Chef, le général de corps d’armée Alain PIDOUX. A l’arrivée, l’accueil chaleureux des conseillers est agréable. Le GCA Alain PIDOUX me reçoit dans son bureau avec un grand sourire. Les tableaux et les photos couvrent les murs de mille couleurs, et je remarque des mérens affichés derrière son fauteuil. C’est bon, nous avons un point commun ! Le Gers, ses montages et ses chevaux rustiques. L’entretien ne peut que bien se passer. Nous avons longuement échangé sur ses sujets, à savoir Quelle est la configuration de l’IGGN ? Quelles sont les trois grandes missions de l’IGGN ? Quel est le rôle du chef de l’IGGN ? Quelles sont les actions menées depuis sa prise de fonction ? Quelles sont ses actualités 2022 ? Quel parcours l’a mené à la fonction de Chef de l’IGGN ? Avec le recul, a-t-il des messages à faire passer ? Passionné de rugby, quels sont ses autres centres d’intérêt ?
L’entretien s’est terminé avec une invitation à rentrer dans la mêlée ! Impossible de refuser de partager cet instant inoubliable. Nous avons joué avec le ballon ovale !

Bonjour Alain,
Depuis juillet 2020, vous êtes le Chef de l’IGGN

 Quelle est la configuration de l’IGGN ?

L’IGGN est une « Maison » très jeune ; elle a juste 13 ans. Une adolescente !

Pour autant, l’IGGN a un ancrage très profond dans l’histoire qui remonte à 2 siècles.
Ce serait long de tout vous raconter (sourire).

Depuis 2009, elle a trouvé sa place naturellement et nous formons avec l’inspection générale de l’administration (IGA), l’inspection générale de la police nationale (IGPN), l’inspection générale de la sécurité civile (IGSC) et l’inspection générale de la sécurité intérieure (IGSI), un collège des inspections générales au sein du ministère de l’Intérieur.

Quelles sont les trois grandes missions de l’IGGN ?

La mission d’enquête « bœuf carotte » judiciaire et administrative, le traitement des signalements et la fonction d’audit.

  • La mission d’enquête « bœufs carottes »

Nos enquêteurs sont triés sur le volet.

La mission judiciaire est la plus connue :

Il s’agit de la volonté d’avoir des gendarmes enquêteurs irréprochables. Il s’impose de traiter les gendarmes comme n’importe quel mis en cause. C’est pourquoi l’IGGN, dans sa fonction « répressive », est crainte de tous les personnels de la gendarmerie. Le ministre de l’Intérieur et le Directeur général de la Gendarmerie nationale (DGGN), Christian Rodriguez, attendent beaucoup de nous car nous sommes, avant tout, l’outil de contrôle de la gendarmerie nationale. Au-delà, la population attend également beaucoup de nous. Il nous faut être très exigeants, exemplaires dans tous les actes du quotidien.

La mission administrative :

Nous avons à présent 6 antennes en région (dont trois nouvelles antennes créées en 2020 à Rennes, Lille et Metz). Nous disposons ainsi des moyens pour appuyer les chefs territoriaux, en toute indépendance. Nos antennes ne font, pour l’heure, que des enquêtes administratives. Toutefois, tous les enquêteurs sont habilités OPJ (officiers de police judiciaire) et peuvent venir en renfort des enquêteurs judiciaires. Cela s’est fait très récemment et nous réfléchissons à faire évoluer nos antennes à ce sujet. En 2020, 75 % des enquêtes administratives conduites par l’IGGN portaient sur une suspicion de harcèlement moral au travail.

  • Le traitement des signalements (internes et externes)

Certaines enquêtes administratives sont issues de signalements internes traités par l’IGGN via la plateforme Stop-discri. Un focus sur les signalements :

Les signalements internes – « Stop-discri »

Depuis 2014, l’IGGN administre la plateforme stop discri qui permet à tout personnel de la gendarmerie (civil ou militaire, d’active ou de réserve) de signaler quatre types de situations : (i) violences, (ii) harcèlement moral, (iii) harcèlement sexuel et (iv) discrimination. La discrimination peut prendre différentes formes (raciale, à raison du handicap, d’une grossesse…).
Je prends le temps de répondre personnellement à chaque personne qui a fait un signalement, à savoir environ 250 chaque année. Tout personnel a accès à des gendarmes compétents sur notre plateforme. Ces derniers sont formés, encadrés et ont le grade minimum d’adjudant-chef, que ce soit pour la plateforme Stop-discri ou la plateforme de réclamations de particuliers.

Les signalements externes – Réclamations de particuliers

Nous en avions reçu 1783 en 2020. 10% des signalements correspondent à des manquements déontologiques avérés. Les saisines ont sensiblement augmenté en 2021 ; j’aurai l’occasion de les communiquer à la prochaine conférence de presse de présentation du rapport annuel d’activité. Je réponds personnellement à 1/3 des signalements externes. La division des signalements et de la déontologie gère ces deux plateformes ; elle traite aussi les saisines des autorités administratives indépendantes que sont le Défenseur des droits (DDD) et le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL).

Défenseur des droits (DDD)

Nous traitons des saisines du Défenseur des droits en matière de déontologie de la sécurité. Récemment, j’ai eu le cas d’un dossier qui mettait en jeu la question du contrôle au faciès lors d’une opération de contrôle d’identité dans une gare. J’ai transmis la totalité de la liste des noms des personnes contrôlées dudit dossier ainsi que d’autres éléments qui ont permis de démontrer que le contrôle n’était pas discriminatoire. La gendarmerie avait réalisé un contrôle de flux, non ciblé.
On est là pour remettre les éléments dans leur contexte. A partir de ces éléments de réponse, le Défenseur des droits est en capacité de formuler des recommandations, le cas échéant des sanctions.
Lorsque j’ai pris mes fonctions, j’ai rapidement proposé au Défenseur des droits une immersion en gendarmerie, au cœur des unités, sur le terrain, pour permettre notamment aux juristes de mieux comprendre notre travail. Cela a été fait. Une immersion inverse aura lieu prochainement.
Il est important de se rencontrer, au moins une fois par an pour échanger sur nos sujets. Aujourd’hui, il y a une fluidité dans nos échanges.

Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLP)

J’ai invité la contrôleure à visiter l’IGGN et cela a été instructif. C’était la première fois que l’IGGN accueillait un contrôleur général des lieux de privation de liberté. Elle a constaté notre dynamique d’ouverture et d’échanges. Actuellement, des études sont conduites pour améliorer notre dispositif de garde à vue (GAV) afin de le rendre plus efficace (centralisation envisagée dans certains lieux).

  • La mission d’audit

Elle est faite pour maîtriser les risques de l’action de la gendarmerie. Elle comporte une dimension de contrôle des unités mais également d’accompagnement et de valorisation des bonnes pratiques.

Notre rôle consiste à formuler des recommandations, des préconisations au DGGN (audits directionnels) ou au ministre (audits ministériels).

C’est le rôle de la Division des audits, inspections et études (DAIE). Il y a également des audits techniques conduits par la Division des audits et expertises techniques (DAET).

Les audits techniques concernent la vérification du bon fonctionnement d’une chaîne logistique, l’usage des fichiers de police, des sujets relatifs à la sécurité et à la santé au travail…

J’ai également, en qualité de chef de l’IGGN, la faculté à proposer des thématiques d’audits sur la base des dysfonctionnements que nous observons.

En résumé, quel est le rôle du chef de l’IGGN ?

Le rôle du chef de l’IGGN :
1/ je définis une stratégie avec un axe et un esprit dans lequel on travaille ;
2/ j’insuffle une dynamique d’ouverture, de transparence, de visibilité, d’accessibilité ;
3/ je mets du lien, de la transversalité au travail. On est 115 effectifs à l’IGGN. On ne chôme pas et je demande beaucoup à mes équipes.

Quelles sont les actions menées depuis votre prise de fonction ?

A mon arrivée à l’été 2020, il m’a fallu 6 mois pour bien voir ce que je pouvais faire et de quelle manière. A Noël, j’ai travaillé un projet de feuille de route et en janvier 2021 débutait le Beauvau de la sécurité. A cela s’est ajouté le Covid-19. Autant vous dire qu’il n’a pas été simple de mener ma feuille de route ! J’ai donc suspendu cette première version.

On s’est nourri du Beauvau de la Sécurité pour établir une version refondue et on a fait des propositions qui ont été compilées dans une stratégie intitulée IGGN 20.24.

Cette stratégie se décline en 3 axes :
1/ limiter le risque déontologique ;
2/ avoir les moyens de ma politique donc les ressources capacitaires pour faire face aux besoins opérationnels. Il est souhaitable d’accroître le nombre d’enquêteurs mais aussi d’avoir des personnels en renfort pour traiter les signalements de manière qualitative ;
3/ plus de transparence et d’ouverture avec une approche humble mais ambitieuse. J’ai d’ores et déjà des conseillers auprès de moi pour m’appuyer en ce sens (un militaire et une civile).

Conférence de presse du GCA Alain PIDOUX, chef de l’IGGN, sur le rapport annuel 2020 – Caserne des Célestins – 22 juillet 2021 © SIRPA Gendarmerie

Vous avez 4 grandes actualités en 2022

Tout à fait. D’abord la concrétisation de l’antenne IGGN Sud que nous allons regrouper à Montpellier. On va fermer l’antenne de Marseille, la transférer à Montpellier et compléter les effectifs avec l’ambition d’avoir 6 enquêteurs sur place pour éviter les projections depuis Malakoff. Cette antenne fera à la fois des enquêtes judiciaires et des enquêtes administratives.

Un magistrat de l’ordre judiciaire viendra m’épauler à compter du 1er septembre 2022. J’aurai alors 2 adjoints, un gendarme et un magistrat.

Un plan d’action déontologie est prévu pour le mois d’avril 2022 qui inclue une cartographie du risque déontologique. Il s’agit d’un processus long et structurant pour demain.

La 4ème actualité concerne la dynamique de prévention et de sensibilisation. Il y a une forte attente du terrain. L’IGGN doit être mieux connue en externe mais également en interne en faisant plus de communication descendante. C’est également une conclusion du Beauvau de la sécurité.

Cette prévention prend aussi la forme de fiches « alerte déontologie ». La dernière porte sur le devoir de réserve. Nous en avions diffusé une au printemps qui concernait l’usage des réseaux sociaux. Nous diffusons également des fiches de sensibilisation techniques sur la consultation des fichiers de police notamment.

Quel parcours vous a mené à la fonction de Chef de l’IGGN ?

On ne peut pas dire que l’on a un parcours qui prépare à être chef de l’IGGN.

En revanche, pour être reconnu, il faut avoir une certaine légitimité.
Lorsque je fais valoir ma vision des situations et que je formule des recommandations, je suis écouté notamment parce que j’ai commandé des régions importantes (Toulouse et Rennes). J’ai exercé des fonctions qui m’ont beaucoup appris.

Il serait sympathique de partager votre expérience avec des anecdotes

J’ai beaucoup d’anecdotes ! Je suis à un an et demi de l’âge de la retraite (sourire).

Je pense au travail collaboratif réalisé à Rennes sur le sujet des 30 ans de la concertation. Vous savez que l’on n’a pas de syndicat. La concertation a pris une réelle dimension. Avec toute l’équipe, nous avions réalisé un guide pratique sur ce thème.

J’ai aussi en mémoire de belles interventions comme celle de Rennes en octobre 2016. Il s’agissait d’appréhender une bande de malfaiteurs. On encaissait les buts. Alors, on a monté une opération avec des gros moyens : le GIGN, un hélico avec du renfort d’images, la gendarmerie mobile.. et la présence du magistrat saisi de l’affaire.
L’affaire a été résolue et on a pu mettre en œuvre une large palette des moyens de la gendarmerie de la brigade à l’antenne GIGN.

J’ai été marqué par mon expérience à Fort-de-France en Martinique sur la période 1993-1996. L’éloignement de la famille, de mes amis n’était pas simple en arrivant. On parle de cocotiers mais c’est aussi la violence et une activité opérationnelle très intense.
J’ai découvert le sens de la camaraderie et j’ai de bons souvenirs de fêtes culturelles, le carnaval, dit «vaval ». Ce séjour en Outre-mer est aussi l’occasion d’aller à la rencontre des personnes et de découvrir des paysages fabuleux, voire de goûter, avec modération, à certains rhums exceptionnels !

J’ai vécu peut-être la plus belle aventure en 2006-2007 alors que j’étais chargé de mission auprès du Directeur des opérations et de l’emploi (DOE) à la Direction générale de la gendarmerie nationale.

J’étais le référent gendarmerie de la Coupe du monde rugby avec mon camarade Luc Presson pour la police nationale. On a travaillé en binôme et cela s’est remarquablement bien passé. L’esprit du rugby prévalait à tous les étages. Vous l’avez compris, je ne cache pas que je suis imprégné par le rugby (sourire). Les rugbymen étaient « extra » ; il y a eu une ambiance fraternelle incroyable, des grands gabarits avec des grandes valeurs et un grand cœur. L’Afrique du Sud a gagné. La gendarmerie était en charge de la sécurité de proximité de cette équipe. C’est ainsi que 3 gendarmes du GIGN, au contact des joueurs, ont pu faire avec l’équipe le tour des grandes villes de ce pays pour présenter la coupe et partager ces moments de joie et de fraternité.

Une grande classe d’avoir invité les gendarmes qui faisaient partie de la famille !

Avec le recul, avez-vous des messages à faire passer ?

Tout au long d’une carrière, on rencontre des personnages qui vous enrichissent et qui vous imprègnent de leur charisme, de leur humanité et souvent de leur talent.

Je pense au coureur cycliste Bernard Hinault pour son courage, sa ténacité et sa proximité : un vrai copain.

A Jacques Delanoé, dirigeant au club de foot du Stade Rennais, très accessible. On peut être haut placé dans le foot et rester très attaché aux valeurs humaines, à l’amitié simple.

Aux rugbymen qui nous font rêver par leur engagement, au fait qu’ils ne lâchent rien.
Je pense à la famille Marchand du Stade Toulousain au grand cœur et aux grandes qualités. Chapeau aux parents qui ne sont pas pour rien dans cette réussite !
Enfin, je souhaite saluer les élus, notamment les maires. Ils s’engagent au quotidien pour la collectivité et leur tâche qui n’est pas facile au moment où l’autorité est contestée. Grand mérite à eux. Ce sont des piliers dans notre République.

Aux gendarmes, je voudrais leur dire qu’ils font un métier exigeant mais reconnu et passionnant.
Je voudrais leur dire de vivre leur métier avec enthousiasme et qu’ils prennent du plaisir.
Que le contrôle est nécessaire dans toute activité mais que nous nous mobilisons pour faire de la prévention, de la formation afin de vous éviter les fautes.
On n’est pas là uniquement dans une posture répressive.
Gardez le sourire. Pratiquez la magagne (terme corse), c’est-à-dire être taquin mais aussi être très respectueux.

Aux citoyens, j’ai envie de leur dire que nous sommes mobilisés pour garantir la force de notre lien de confiance. Que cette confiance, nous le savons, passe par l’exemplarité, par la maîtrise des gestes professionnels et le fait de répondre présent quand la population est confrontée aux difficultés.

Vous êtes passionné de rugby.
Quels sont vos autres centres d’intérêt ?

La famille est un socle important, cela fait partie de l’équilibre. Je suis reconnaissant à l’égard de mon épouse qui a mis son activité professionnelle pendant des années de côté pour me suivre et s’occuper des enfants car les mutations étaient trop compliquées à articuler avec son métier d’enseignante.

J’ai trois filles qui ont pris leur envol. C’est un bonheur de les voir bien dans leur peau avec des activités professionnelles qui leur permettent de s’épanouir. Elles ont acquis des repères et sont complices entre elles.

J’ai besoin de marcher. Les randonnées en montagne me ressourcent beaucoup. J’adore partager ces moments avec les amis.

Le goût de la montagne vient de mes origines. Je viens d’Occitanie, dans l’Ariège. J’adore les montagnards, les gendarmes des PGHM, leur esprit, leur humilité. En montagne, on ne peut pas tricher.
J’apprécie aussi marcher en Bretagne sur le sentier littoral qui part du Mont-Saint-Michel pour se terminer à Saint-Nazaire (GR34). Je n’oublie pas la Corse et j’avoue ne pas connaître tous les chemins de ce beau pays.

Je suis passionné de rugby mais pas seulement.

Le GCA Alain PIDOUX, chef de l’IGGN invite Miss Konfidentielle à rentrer dans la mêlée © Valérie Desforges

Je suis très imprégné par deux autres sujets : la peinture et la photo.
Comme vous l’avez observé, j’en ai plusieurs dans mon bureau (sourire) et je suis attaché à chacune d’entre elles. Elles me rattachent à des souvenirs agréables.

Tableaux et photos du GCA Alain PIDOUX, IGGN © Valérie Desforges

Un remerciement Alain pour cet entretien qui n’a pas manqué de surprises. 
Pleine réussite pour 2022 ! L’IGGN se doit d’être exigeante, pour autant elle est aussi humaine. Une noble caractéristique de la Gendarmerie nationale.


Note importante

Il est strictement interdit de copier tout ou partie du contenu de l’interview et d’utiliser les photos créditées Valérie Desforges sans autorisation préalable écrite de Valérie Desforges.

Il est strictement interdit d’utiliser les autres photos créditées sans l’autorisation préalable écrite de leurs auteurs.

Légendes des photos dont le copyright est SIRPA Gendarmerie :

  • GCA Alain PIDOUX _1 © CABCOM RGBRET :
    Le DGGN, le GAR Christian Rodriguez et le GCA Pidoux, Commandant de la région de gendarmerie de Bretagne, commandant la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest ; le DGGN au contact des gendarmes bretons
  • GCA Alain PIDOUX _2 © CABCOM RGBRET :
    Débriefing après un exercice de lutte contre le terrorisme, en présence de madame la maire et du sous-préfet de Pontivy (56). Intervention de toutes les composantes de la gendarmerie nationale, du binôme primo intervenant jusqu’à l’antenne du GIGN de Nantes
  • GCA Alain PIDOUX _3 © SIRPA Gendarmerie :
    Inauguration de la brigade de Liffré (35) par M. Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères et madame la Préfète Michèle Kirry préfet de Bretagne, d’Ille-et-Vilaine et de la zone de défense et de sécurité Ouest et madame la députée Laurence Maillart-Méhaignerie
  • GCA Alain PIDOUX _4 © SIRPA Gendarmerie :
    Inauguration de la brigade d’Allaire (56) par le ministre de l’intérieur, le 11 mars 2017. Présence des enfants et photo de famille avec le ministre, le préfet, le maire, le commandant de région, la commandante de compagnie de Vannes et bien sûr les gendarmes de la brigade heureux de s’implanter dans les locaux de service opérationnels et des logements
  • GCA Alain PIDOUX _5 © EOGN :
    Le GCA Pidoux, chef de l’IGGN, officier témoin à une marche des alphas (marche réalisée par les élèves-officiers de l’EOGN au profit de la promotion arrivante) – Château de Blandy-les-Tours (77) – 28 septembre 2021
  • GCA Alain PIDOUX _6 © CABCOM EG CHATELLIN :
    Le GCA Pidoux, chef de l’IGGN, préside un baptême de promotion d’élèves gendarmes – Ecole de gendarmerie de Châteaulin (29) – 23 février 2022
Merci Alain PIDOUX, je suis rentrée dans la mêlée avec joie © Valérie Desforges

 

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