L’université de Strasbourg innove en créant la Licence Sciences pour la Santé (SPS) en 2020

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Félicitations à l’Université de Strasbourg qui à l’écoute des besoins du marché et des étudiants innove ! Se différenciant du modèle national, l’Université de Strasbourg crée la SPS (Licence Sciences pour la Santé) pour septembre 2020 afin de préparer les étudiants à l’admission en études de médecine, maïeutique, odontologie et pharmacie, ainsi que kinésithérapie, ergothérapie et psychomotricité. 

Le décret publié le 4 novembre 2019

Celui-ci précise les modalités règlementaires de la réforme de l’accès aux études de santé – et en particulier du premier cycle -, annoncée par le gouvernement en septembre 2018. Le cœur de la réforme vise à supprimer le numerus clausus et à remplacer la Première année commune aux études de santé (Paces), créée en 2009, par un Parcours d’accès spécifique santé et une Licence avec une option accès santé (mineure santé, majeure d’une autre discipline). Une grande autonomie étant laissée aux établissements dans l’application de la réforme, l’Université de Strasbourg a travaillé activement à concevoir et concrétiser un modèle pédagogique à la fois ambitieux et original. Celui-ci prend le contrepied du modèle national en créant une Licence mention Sciences pour la santé (SPS), avec une majeure en santé et une mineure au choix parmi 11 disciplines.

Un groupe de travail efficace à l’Université de Strasbourg

Réuni autour des trois vice-présidents Benoit Tock (Formation), François Gauer (Transformation numérique et innovations pédagogiques) et Pascale Bergmann (déléguée Réussite étudiante), un groupe de travail intégrant les 13 composantes concernées au sein de l’université a travaillé durant de nombreux mois pour imaginer les modalités de cette réforme. La transformation des études de santé vise ainsi à mieux former, mieux orienter et mieux insérer les futurs professionnels de la santé.

La Licence Sciences pour la Santé a pour objectifs :

  • de favoriser la réussite du plus grand nombre d’étudiants, qu’ils poursuivent en santé ou dans une autre discipline ;
  • de donner une première formation en sciences de la santé ;
  • de préparer à l’admission en études de médecine, maïeutique, odontologie et pharmacie ;
  • de faciliter une poursuite d’études, en santé ou hors santé, pour les étudiants qui n’auraient pas été admis en médecine, maïeutique, odontologie ou pharmacie. Les passerelles entre les filières seront donc favorisées.

L’enjeu des formations en santé est également de répondre aux besoins du marché du travail : ce sont des formations dans lesquelles les étudiants réussissent et développent les compétences attendues par les employeurs.

Les 11 mentions (mineures) proposées à l’Université de Strasbourg

Chimie (150 places), droit (100 places), mathématiques (100 places), physique (100 places), psychologie (120 places), sciences économiques (150 places), sciences sociales (80 places), sciences du sport (100 places), sciences de la terre et de l’univers (40 places), sciences et technologies (pluridisciplinaire) (80 places), sciences de la vie (400 places).

1 420 places seront donc ouvertes en septembre 2020. Ce chiffre correspond au nombre d’inscrits en Paces cette année 2019-2020 à l’Université de Strasbourg.

Les conseils d’inscription de l’Université de Strasbourg sur Parcoursup 

Dès le 22 janvier 2020, sera proposée sur la plateforme Parcoursup la possibilité de formuler un vœu pour intégrer la première année de la nouvelle licence SPS, comme pour les autres licences. Un seul vœu valant pour l’ensemble des parcours ne sera pas possible. Il faudra donc faire un vœu pour chacun des parcours souhaités (dans la limite de 10 vœux). Chaque parcours possède sa propre capacité d’accueil : il est donc conseillé de faire des vœux sur plusieurs parcours.

Quels parcours privilégier ? Ceux qui correspondent le mieux à ses points forts, à ses centres d’intérêt : ne pas oublier que l’admission en médecine, maïeutique, odontologie ou pharmacie se fait sur la base de la réussite en 1re année (qui comporte aussi bien des disciplines « santé » que d’autres disciplines) et, éventuellement, de la réussite à des épreuves transversales.

Privilégier aussi les disciplines que l’on aurait envie de poursuivre en 2e année, en cas d’échec à l’admission en DFG2.


Afin de répondre à toutes les questions, l’Université de Strasbourg met en œuvre un dispositif d’information spécifique sur la réforme de l’accès aux études de santé :

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