Depuis le PC Crise du RAID à Bièvres, l’interview de Thierry SABOT, Chef Adjoint de Jean-Baptiste DULION
Le 31 décembre 2023 – Dans le cadre mythique du RAID à Bièvres (91), j’ai l’honneur de m’entretenir avec Thierry SABOT, commissaire divisionnaire et chef Adjoint du RAID depuis 5 ans auprès de son chef Jean-Baptiste DULION.
Le RAID, acronyme de Recherche Assistance Intervention Dissuasion, est l’élite de la Police nationale. Son fondateur, Robert BROUSSARD, et son 1er chef Ange MANCINI en 1985 avaient-ils pensé que le RAID se développerait avec tant de brio ?
« La création du RAID est une longue histoire de réflexion… ! Pour le RAID la genèse a commencé lorsque la Préfecture de police a créé la « BAC » Brigade anti-commando pour lutter contre toutes les formes extrêmes de violences : terrorisme, grand banditisme, prise d’otages, indépendantisme… Il s’agissait d’une structure éphémère qui se constituait en fonction des besoins et qui était composée de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) : la compagnie des moniteurs de la préfecture de police, la brigade des gaz des services techniques. Le patron était le chef de la BRI (Brigade de recherche et d’intervention) et il avait comme adjoints le numéro 2 de la BRB (Brigade de répression du banditisme) celui de la mondaine et le numéro 3 de la criminelle et c’est à ce titre que j’ai participé à des opérations avec ce service exceptionnel » Ange MANCINI (Chef du RAID de 1985-1990).
« Je suis arrivé quatorze mois après l’affaire Merah. C’était en avril 2013. En tant que chef du RAID, j’ai commandé toutes les opérations majeures comme celle de la prise d’otages du magasin Hyper Cacher en janvier 2015 où je commandais à la fois le RAID et la BRI parce que le ministre avait déclenché la FIPN, la Force d’intervention de la Police nationale qui est une formation regroupant sous les ordres du chef du RAID les deux unités prestigieuses » Jean-Michel FAUVERGUE (Chef du RAID-FIPN de 2013-2017).
« Il est évident que chacun doit tenir sa place, au RAID, ce n’est pas à moi d’ « enfoncer » une porte ou d’être le premier derrière un bouclier dans une colonne d’assaut, en revanche, je suis là pour assumer la décision d’intervention après une phase de négociation ou de gestion de crise complexe, pour contrôler la progression des colonnes et la bonne exécution de la mission, pour intervenir dans l’urgence si les opérateurs sont confrontés à une contrainte qui nécessite une décision stratégique » Jean-Baptiste DULION (Chef du RAID de 2017-2024).
En me présentant à la guérite du RAID à Bièvres, je fais une jolie rencontre avec un daim.
Bonjour Thierry,
Nous sommes au PC Crise du RAID,
quelles sont les missions de l’unité ?
D’abord, le RAID veut dire « Recherche Assistance Intervention Dissuasion » qui est l’acronyme de l’unité d’intervention spécialisée et de gestion de crise à la disposition directe du Directeur Général de la Police Nationale (DGPN).
Les principales missions du RAID sont de lutter contre le terrorisme et le grand banditisme sur différents aspects.
Le premier volet couvre – la gestion de crise, lorsque les medias se font l’écho d’un attentat, c’est souvent là où on entend parler du RAID, – et le « quotidien du RAID » sur des situations de forcenés, de prises d’otage, une centaine par an environ.
Le deuxième volet couvre les opérations d’interpellation à risque dans lesquelles les services de police se confrontent à une difficulté, à un risque trop important pour exposer un policier du quotidien. Donc ils font appel au RAID lorsque la notion de danger devient trop importante, notamment en raison de la présence d’armes à feu. C’est environ 50% de l’activité du RAID, justifiant que la lettre A de Assistance soit plus grande que les autres sur notre logo.
Enfin un troisième volet qui est la protection avec une contribution quasi quotidienne à la sécurité du président de la République sur les déplacements les plus sensibles en France comme à l’étranger. C’est aussi la protection d’autres personnalités : je prends l’exemple du procès Charlie Hebdo où l’on a protégé certaines parties civiles. C’est encore la protection d’ambassadeurs de France à l’étranger, comme on l’a fait à Kaboul en Afghanistan jusqu’à la chute du pays aux mains des talibans, et encore à l’heure actuelle au Liban.
L’échelon central du RAID est situé à Bièvres dans l’Essonne (91). Il compte sur ses antennes métropolitaines à Lyon, Strasbourg, Nancy, Lille, Rennes, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Marseille et Nice et sur ses antennes en outre-mer présentes en Guyane, à Mayotte, en Nouvelle-Calédonie, en Guadeloupe, en Martinique et l’île de la Réunion. Nous avons aussi un échelon zonal sud qui couvre l’arc méditerranéen avec des moyens spécialisés complémentaires au profit des antennes de Nice, Marseille, Montpellier et Toulouse. En effet, certaines capacités rares ne peuvent pas être déployées dans chaque antenne (groupe cynotechnique, technologies de pointe, spécialistes de gestion de crise) et ne se trouvent qu’à l’échelon central ou à l’échelon zonal sud.
Comment différencier les forces RAID, BRI et GIGN ?
C’est assez simple. Déjà les 2 forces RAID et BRI appartiennent à la Police nationale, et le GIGN appartient à la Gendarmerie nationale. La différence entre police et gendarmerie se fait dans la répartition des tâches, globalement la police est en ville et la gendarmerie en milieu plus rural ou péri-urbain. Ensuite la BRI a la spécificité territoriale de travailler plus spécifiquement ou quasi exclusivement à Paris intra-muros.
Une autre spécificité côté police, la FIPN ou Force d’Intervention de la Police Nationale qui, à la demande des hautes autorités (Préfet de Police et DGPN), rassemble lors des crises les plus intenses le RAID et la BRI sous l’autorité du chef du RAID, la direction des opérations revenant comme toujours au Préfet territorialement compétent.
Ces critères de compétence territoriale, qui peuvent être momentanément suspendus en cas d’urgence absolue lors d’un attentat terroriste en cours, permet d’éviter les conflits stériles entre les unités. Aujourd’hui, il existe du coup un tel niveau d’entente entre les trois unités que nous avons pu proposer à nos autorités d’emploi une répartition des missions à l’occasion des jeux olympiques et paralympiques de 2024. Cela n’avait jamais été réalisé jusqu’à présent.
Au-delà de ces différences territoriales, le point commun qui nous unit tous, c’est de pouvoir compter sur des personnalités fortes, des opérateurs passionnés par leurs spécialités et prêts à donner le meilleur d’eux-mêmes pour protéger leurs concitoyens. Leur engagement est sans limite.
Un remerciement pour l’engagement sans limite de l’unité.
Parlons de vous : quel parcours vous a mené au RAID ?
J’ai fait des études de droit et de criminologie et j’ai passé directement le concours de commissaire de police que j’ai eu à l’âge de 25 ans. A 15 ans je voulais être commissaire de police, à 25 ans j’avais réussi le concours.
J’ai fait ma scolarité à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or (69), j’ai été commissaire stagiaire à Nice où j’ai fait mes premières armes sur le terrain et où j’ai découvert le grand banditisme. En sortie d’école j’ai eu la volonté et la chance de regagner la police judiciaire puisque je voulais orienter ma carrière vers les enquêtes complexes. Il faut dire que j’étais à Nice avec un ancien de PJ, Jean-Jacques COLOMBI, qui est devenu un peu mon mentor.
Je suis sorti à l’origine en brigade financière à la PJ de Lille, dirigée à l’époque par Frédéric VEAUX. Ce n’était pas la matière pour laquelle j’avais le plus d’appétence au départ mais ça m’a permis de découvrir une matière extrêmement technique dès ma sortie d’école et donc de me spécialiser dans un domaine que je n’aurais probablement pas exploité par nature. Donc, j’ai acquis des compétences qui m’ont été très utiles par la suite pour dénicher dans les enquêtes criminelles les éventuelles intrications financières.
Tout au long de ma carrière, j’ai pu bouger en province sur des postes de direction de service en police judiciaire et progressivement j’ai recentré mon travail sur le crime organisé en me spécialisant sur lesaspects gestion des dispositifs opérationnels et les stratégies d’investigation sur le terrain.
J’ai d’abord dirigé la PJ de Brest, un petit service généraliste, puis la Brigade de Répression du Proxénétisme à Marseille pour travailler sur les réseaux de prostitution sur tout l’arc méditerranéen. De là, je suis passé à la PJ d’Avignon, un service généraliste un peu plus étoffé. J’y ai participé au dénouement de l’affaire Évelyne BOUCHER, une jeune femme violée et tuée en 1987, dont l’auteur, Robert GREINER n’était identifié par l’ADN qu’en 2006.
J’ai ensuite rejoint la BRI de Lyon où j’ai passé 4 ans, la quintessence du travail de policier, c’était ce pourquoi j’étais rentré dans la police, à savoir suivre des voyous, ce que l’on appelle les « monter au flag » c’est-à-dire prendre les voyous en filature jusqu’à ce qu’ils commettent un acte criminel pour pouvoir les interpeller en flagrant délit pour qu’ils ne puissent pas contester leur implication. Pendant cette période, j’ai travaillé littéralement nuit et jour, semaine comme weekend pour arrêter nombre de braqueurs, de go fast, de meurtriers et même plusieurs terroristes d’ETA.
Après ces expériences, j’ai fait une pause dans mon activité judiciaire puisque je suis parti 4 ans à Tokyo comme Attaché de Sécurité Intérieure (ASI) pour le Japon et la Corée du Sud. Là j’ai eu à connaître de la catastrophe de Fukushima (séisme, tsunami et accident nucléaire) et en tant qu’ASI, j’étais l’interface du ministère de l’Intérieur au sein de l’ambassade de France pour la protection de nos ressortissants, l’organisation de l’aide de l’État français à l’État japonais… Cette phase de gestion de crise était extrêmement intéressante. J’en ai gardé des liens très forts avec les quelques conseillers qui entouraient l’Ambassadeur Philippe FAURE au plus fort de cet évènement hors norme.
De retour en France, je suis arrivé à la PJ de Versailles en tant que chef de la division des affaires criminelles où j’ai eu à connaître des attentats de 2015 puisque j’ai dirigé les constatations sur l’imprimerie de Dammartin-en-Goële suite à la neutralisation des frères KOUACHI.
Puis le 13 novembre j’étais rue de Charonne à Paris où j’ai dirigé les constatations sur le bar La belle équipe, ce qui m’a donné l’envie de m’investir encore plus dans la lutte contre le terrorisme pour protéger nos concitoyens et je suis parti à la sous-direction anti-terroriste (SDAT) pour finaliser le montage d’une unité de surveillance de type BRI, pour suivre les potentiels terroristes qui étaient mis en cause dans les dossiers judiciaires de la SDAT. De là j’ai beaucoup travaillé avec le RAID pour gérer certaines opérations d’interpellation complexes, comme à la suite de l’attentat de Carcassone-Trèbes, et j’ai rencontré Jean-Baptiste DULION. Et lorsque mon prédécesseur Eric HEIP a quitté ses fonctions de n°2 du RAID, j’ai rapidement été informé et j’ai aussitôt appelé Jean-Baptiste DULION qui m’a répondu « Tu tombes bien, je comptais t’appeler, ton profil m’intéresse ». On ne se connaissait pas extrêmement bien puisque nous avons un parcours assez différent mais nous nous sommes très vite révélés hyper complémentaires.
A vous écouter, vous êtes hyper complémentaires avec Jean-Baptiste DULION.
Que dire suite à l’annonce de son prochain départ du RAID ?
Cela fait près de 5 ans que je suis auprès de Jean-Baptiste DULION et sachant que Jean-Baptiste quitte ses fonctions de Chef du RAID prochainement, je peux dire que nous avons eu une collaboration fondée sur une grande confiance mutuelle. On formait vraiment un binôme efficace au sein de cette institution.
Bien évidemment c’était Jean-Baptiste qui avait le poids de la responsabilité des décisions et j’étais l’éminence grise qui s’attachait à le conseiller au mieux pour que l’on puisse faire les meilleurs choix sur les affaires un peu sensibles que nous avons eues à connaître au cours de ces 5 années.
Un chef du RAID sait pouvoir compter sur le courage de ses opérateurs. Ces derniers sont capables de tout et notamment de s’exposer au danger ultime pour remplir leur mission. Notre rôle à nous, c’est de garder la tête froide et trouver la meilleure stratégie pour remplir la mission, sauver des vies, mais aussi d’éviter toutes les prises de risques inutiles.
Je pense à l’évacuation de l’ambassade de France à Kaboul en août 2021, à la période des émeutes de l’été dernier… Ce sont des phases de gestion de crise assez complexes à gérer et on est bien contents de partager le poids de ces décisions. Il y a aussi quelques missions que j’ai gérées seul lorsqu’il était en déplacement : une interpellation de braqueurs de fourgon blindé au milieu des bois, une prise d’otage intrafamiliale où le père de famille nous tirait dessus à travers la porte pendant que ses 5 enfants et sa femme enceinte de 7 mois vaquaient dans l’appartement… Des affaires qui n’ont pas eu l’honneur des médias et qui sont pourtant la quintessence du travail du RAID.
Jean-Baptiste est un excellent chef. Il m’a toujours laissé une grande latitude pour développer les sujets qui me tenaient à cœur comme acquérir des voitures rapides pour les interpellations sur la voie publique, développer le recours aux nouvelles technologies ou mettre en place la salle de gestion de crise où nous nous trouvons, par exemple. Chacun travaillait sur ses sujets en tenant informé l’autre, ce qui nous a permis de démultiplier le travail effectué au bénéfice de l’unité.
Comment envisagez-vous la suite de votre parcours ?
C’est la grande question.
J’avais postulé bien entendu pour devenir chef du RAID à la suite de Jean-Baptiste DULION mais aujourd’hui cela n’est pas dans la tradition de la Police nationale de nommer chef un adjoint. J’ai tout de même tenté ma chance.
Finalement, c’est Guillaume CARDY qui sera le prochain patron du RAID. J’ai envers lui le plus profond respect et un bon feeling sur les dernières rencontres que l’on a pu avoir. Donc je continuerai à m’inscrire au moins un temps dans cette dynamique d’autant que les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 se préparent et c’est un enjeu extrêmement motivant. Je me suis beaucoup investi sur la préparation de notre dispositif et j’espère être là pour l’épauler au moins jusqu’à cette échéance.
Maintenant, j’ai atteint un certain niveau d’expérience dans mon parcours professionnel donc si une belle opportunité se présente, je serai obligé d’essayer de la saisir. Si un poste à responsabilité m’intéresse, j’essaierai de le prendre.
Nous sommes le 31 décembre 2023, quel pourrait être votre vœu pour l’unité en 2024 ?
Globalement la grande force de cette unité est de toujours s’adapter aux circonstances.
A l’aube de 2024, l’unité n’est plus du tout ce qu’elle était en 1985. Lorsque je discute assez régulièrement avec Robert BROUSSARD et Ange MANCINI, nos pères fondateurs, je me sens très respectueux de ce qu’ils ont mis en place. De leur côté, ils disent « Quel parcours du RAID depuis que nous l’avons créé ! ». Ils étaient 80 au RAID à l’époque et fin 2023 nous sommes 500.
Au RAID, on a toujours su s’adapter aux défis. On l’a fait ces dernières années en nous développant en outre-mer avec une antenne en Martinique, une antenne en Guyane et une antenne à Mayotte.
On a toujours su répondre présents dans les phases d’urgence. Je me souviens avoir été appelé par Jean-Baptiste DULION à 7h00 du matin en me disant « à 11h00 tu es dans un avion, en direction de la Guadeloupe parce que la situation est compliquée. On a besoin qu’un commissaire du RAID soit présent sur place ». Donc en 4 heures j’ai fait mes bagages et je suis parti aux Antilles sans savoir combien de temps cela allait durer. Il est indispensable dans une unité comme le RAID de savoir s’adapter aux circonstances immédiates.
Et aujourd’hui le message que l’on fait passer pour l’année olympique 2024, c’est que le RAID est présent pour mettre toutes ses compétences, tous ses talents au profit du succès de cet événement planétaire. Les enjeux de sécurité sont assez colossaux pour que la France réponde présent sur les enjeux événementiels. Il faut que la sécurité soit impeccable et on y travaille de manière acharnée pour faire en sorte que tout se passe bien pour nos concitoyens, les sportifs et les visiteurs. Mon plus grand vœu pour 2024, c’est que tout se passe en toute sécurité.
Ce que nos citoyens doivent savoir, c’est qu’au RAID, mais aussi dans l’ensemble de la Police nationale, tout le monde se lève le matin avec une seule envie, celle de porter assistance à la population de notre pays.
Il peut arriver que dans certaines circonstances, on ait à prendre une décision dans un éclair de temps, et que ce ne soit pas la meilleure décision, ou que le résultat obtenu ne soit pas celui qui était escompté à l’origine. Pour autant lorsque le policier est venu sur la situation, il n’avait qu’un intérêt, celui de préserver les victimes potentielles et d’empêcher l’action d’individus malveillants. Et que « force reste à la loi »
Sur un registre plus personnel, souhaitez-vous partager vos passions et loisirs ?
Je ne suis pas un garçon fixé sur une passion. Jean-Baptiste DULION a une grande passion qui est le rugby, cela prend une place importante dans sa vie, il a joué à un bon niveau. Pour ma part, je n’ai pas un sujet sur lequel je suis accroché, il y en a plusieurs.
J’ai toujours aimé les sports de combat que j’ai longtemps pratiqués et c’est aussi pour cette raison que je suis parti au Japon. J’ai beaucoup pratiqué le karaté puis la boxe française et anglaise, le krav-maga ensuite. Actuellement je travaille le sabre japonais. Ça c’est pour l’aspect sportif.
J’aime aussi beaucoup la lecture, les voyages et j’ai une spécificité : j’ai beaucoup pratiqué les jeux de rôle (JdR). Ce type de jeux m’a énormément apporté dans mon métier. Il m’a appris à acquérir une aisance dans la manière de parler devant les autres, en français comme en anglais, à combattre potentiellement ma timidité et puis ça m’a appris à appréhender une situation sous un angle tactique. Ce sont un peu les descendants des wargames, face à une situation donnée, il faut trouver une solution difficilement anticipable par l’adversaire. J’ai grandi avec ces jeux, adolescent puis étudiant, et aujourd’hui j’y trouve un intérêt au quotidien puisque tout ce que j’ai pu apprendre en jouant me permet de faire mon métier plus efficacement. J’analyse beaucoup plus vite les situations et les diverses options qui se présentent.
Un grand remerciement Thierry pour ce moment de partage en confiance qui permet de mieux comprendre l’institution et qui vous êtes. Et si je m’essayais aux gants de boxe dans la salle de sport du RAID sur vos conseils bien entendu ?
Allons-y ! La salle de sport est utilisée au quotidien par les équipes du RAID qui s’entrainent pour une pleine efficacité lors des interventions.
Une expérience inoubliable ! Bon réveillon et excellente année 2024 !
Un remerciement à Cindy, chargée de communication, pour son accueil sympathique.
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